L’ÉPAQ lance une version renouvelée de son programme en transformation des produits aquatiques pour 2026-2027
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L’École des pêches et de l’aquaculture du Québec (ÉPAQ) annonce la mise en place d’une version entièrement renouvelée de son programme de formation collégiale en transformation des produits aquatiques, qui sera davantage axé sur la valorisation et le développement des technologies bioalimentaires aquatiques.
Transformer la mer, une idée à la fois
La nouvelle version de ce diplôme d’études collégiales (DEC), qui sera offerte à l’automne 2026 tant en présence qu’à distance, s’adresse aux personnes créatives, curieuses et minutieuses, attirées par le travail en laboratoire, le développement de produits bioalimentaires innovants et leur mise en marché. Il propose une formation axée sur la valorisation durable des ressources aquatiques, qu’il s’agisse de poissons, mollusques, crustacés, algues ou autres organismes marins, en vue de la création de produits transformés alimentaires ou non alimentaires.
Un secteur d’avenir, une formation unique
L’industrie bioalimentaire aquatique est en plein essor, tant sur le plan technologique que dans ses approches de mise en valeur des ressources marines. Ce nouveau programme permettra de former une nouvelle génération de techniciennes et techniciens capables d’innover, de répondre aux besoins des entreprises et de contribuer activement à la transformation responsable du secteur.
« Cette nouvelle version du programme reflète l’évolution des besoins de l’industrie bioalimentaire et les préoccupations actuelles en matière de développement durable. Elle positionne l’ÉPAQ comme un acteur clé dans la formation de talents capables de faire rayonner l’innovation aquatique à travers le Québec et ailleurs », indique Serge Rochon, directeur des études.
Une formation plus flexible
Les étudiantes et étudiants auront accès à des installations de pointe en bord de mer, uniques au Québec, qui favorisent l’apprentissage concret et appliqué. Les cours spécifiques au programme seront offerts en présence ou à distance, avec une formule hybride adaptée aux réalités des personnes apprenantes. Celles inscrites à distance effectueront jusqu’à cinq séjours annuels de cinq à six jours à Grande-Rivière pour participer aux activités pratiques en laboratoire.
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