Chrysalide est un lieu d’exposition de créations actuelles en arts visuels et en métiers d’arts situé au campus de Gaspé du Cégep de la Gaspésie et des Îles. Cette galerie présente des œuvres d’artistes professionnelles et professionnels, d’artistes en voie de professionnalisation ainsi que d’étudiantes et étudiants d’Arts, lettres et communication ou d’autres programmes.
Diffuser et démocratiser les créations d’étudiant(e)s, d’artisan(ne)s et d’artistes en développement et professionnel(le)s, tout en rassemblant les créateur(-trice)s, le public et ceux et celles qui réfléchissent à la création ou s’y intéressent.
Campée au cœur d’une maison d’enseignement collégial, Chrysalide agit comme un espace de transformation, de révélation et de mise en présence pour les créateur(-trice)s étudiant(e)s ou en voie de professionnalisation. Des propositions permettant l’échange avec le public y sont donc valorisées, dans une optique de care et en s’opposant à toutes formes de violence ou d’oppression.
La galerie d’art Chrysalide est en activité depuis l’automne 2025. Pour obtenir le statut de lieu de diffusion professionnel en arts visuels et métiers d’art reconnu dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du Québec, elle devra cumuler trois années de présentation d’artistes professionnelles ou professionnels.
Aidez-nous à rendre cette reconnaissance possible en soutenant la galerie par un don via la plateforme de la Fondation du Cégep de la Gaspésie et des Îles. Vos dons contribueront à la professionnalisation des artistes du territoire gaspésien et à la diffusion de leur travail auprès de la communauté collégiale et civile de Gaspé.
La galerie d’art Chrysalide bénéficie du soutien financier du gouvernement du Québec, dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement en matière de relance du secteur culturel pour le rayonnement de la Gaspésie, en partenariat avec Culture Gaspésie, la MRC de Bonaventure, le centre d’artistes Vaste et Vague et la Table des préfets des MRC de la Gaspésie. Elle profite également de l’appui du Pôle d’enseignement supérieur Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine et de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR).
L’appel de dossiers pour Cocon est à présent terminé. Il n’y a aucun appel de dossiers en cours actuellement.
Lorsque des expositions sont à l’affiche, la galerie d’art Chrysalide est ouverte tous les jours, de 8 h à 18 h.
Elle se situe au local 319 du Cégep de la Gaspésie et des Îles, campus de Gaspé : 96, rue Jacques-Cartier, Gaspé (Québec) G4X 2S8.
À travers une série de photographies argentiques réalisées selon le procédé rare du lith printing, 2 degrés s’inscrit dans une réflexion sur les bouleversements climatiques, et plus particulièrement sur les effets de la fonte des glaces et de l’érosion sur le littoral québécois.
Photographe pigiste, technicien de laboratoire et tireur professionnel en chambre noire, Mathieu L’Heureux Roy (Gaspé) œuvre depuis plus de 20 ans dans le monde de la photographie, explorant tant ses aspects techniques qu’artistiques.
Sélectionnée à la suite d’un appel de projets, cette exposition 2 degrés est réalisée grâce au soutien financier du gouvernement du Québec, dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement en matière de relance du secteur culturel pour le rayonnement de la Gaspésie, en partenariat avec Culture Gaspésie, la MRC de Bonaventure, le Centre d’artistes Vaste et Vague et la Table des préfets des MRC de la Gaspésie.
Voir la biographie et la démarche artistique de Mathieu L’Heureux Roy
Cinq étudiantes de deuxième année en Arts, lettres et communication ont présenté cette exposition diffusée dans le cadre du cours Projet de création en arts visuels.
Le mandat donné aux étudiantes était d’abord de réaliser une petite série de dessins ou de collages en intégrant différentes influences provenant de deux ou trois artistes ou thèmes visuels distincts, voire parfois hétéroclites. Elles devaient ensuite transposer ces images en des maquettes monochromes sur papier calque. Il leur a fallu migrer doucement vers la possibilité de la gravure, un univers où présence et absence du matériau forment une dualité à première vue contraignante, mais remplie de nouvelles perspectives.
Les matrices creusées des images ainsi obtenues étaient en Komatex, un polychlorure de vinyle, mieux connu sous l’acronyme PVC. Il s’agit d’une matière plastique expansée, à la fois légère et solide. Les étudiantes devaient ensuite réfléchir à différents supports, puis y tester les couleurs d’impression. Elles ont aussi pu manier une petite presse pour effectuer leurs nombreuses épreuves, comme leurs estampes définitives. La mise en espace dans la salle a constitué l’étape finale de l’expérience.
En savoir plus sur le projet et les œuvres des cinq étudiantes (PDF)
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